CST de Mantes-la-Jolie : des actions au service de la population

SophieBerguin

Elaboré par le Conseil général en lien avec la Ville, la Caisse d’Allocations Familiales et les acteurs locaux, le Contrat social de territoire de Mantes-la-Jolie contient 31 actions à mettre en place au cours des trois prochaines années.

CST Mantes-la-JolieVendredi 23 janvier 2015, le 27e Contrat social de territoire (CST) du Conseil général a été signé à Mantes-la-Jolie avec la Ville, la CAF et les acteurs locaux (élus, représentants des habitants, responsables associatifs, professionnels de l’action sociale, du secteur des loisirs, de l’éducation, de l’emploi, de l’habitat, de la santé, etc.).

Depuis 2008, le Département a mis en place ce dispositif qui permet d’élaborer un diagnostic avec les partenaires d’un territoire (communes ou intercommunalités) pour identifier les axes prioritaires correspondant aux besoins des habitants, aux enjeux politiques et aux objectifs stratégiques du Conseil général. Sur cette base, des plans d’actions innovants sont mis en place, et leurs financements définis.

35 communes bénéficient de ce dispositif, soit près de 500 000 Yvelinois.

A Mantes-la-Jolie, sept axes prioritaires ont été dégagés :

  • parentalité / petite enfance
  • éducation / jeunesse
  • insertion professionnelle
  • évolution de la précarité et insertion sociale
  • vieillissement de la population / soutien à l’autonomie des personnes âgées
  • vivre ensemble
  • observatoire partagé

31 actions – dont 6 sont mises en œuvre par des associations – vont ainsi être mises en place au cours des trois prochaines années parmi lesquelles un salon de coiffure solidaire, des ateliers sur l’entreprenariat, des actions de lutte contre l’isolement des personnes âgées ou handicapées, la mise en place de jardins partagés…

Copilotées par le Conseil général et la Ville, en lien avec leurs partenaires, ces actions sont amenées à évoluer au fil des mois pour répondre au près des besoins des habitants.

Le budget global du CST pour les années 2014-2016 est évalué à 7 M€, dont 2,2 M€ sont à la charge du Conseil général.